John Chen continue
son grand ménage dans la stratégie et la gouvernance de BlackBerry. Le
nouveau patron de la marque canadienne confirme qu'il produira
majoritairement des terminaux avec clavier et laissera de côté les
écrans tactiles. Tout le contraire de son prédécesseur.
Fini le « Full Tactile », les Torch et les Z10 pour BlackBerry.
Fini les expérimentations et le grand public : BlackBerry sera sauvé
par ses services professionnels et les applications qui ont su maintenir
l'application à flot, notamment BBM qui cumule 40 millions d'utilisateurs sur Android et iOS.
Le nouveau patron de BlackBerry continue de faire table rase des
développements que son prédécesseur, Thorsten Heins, avait tenté
d'initier.
« Personnellement, j'adore les claviers physiques »
Dans une interview accordée à l'agence de presse économique Bloomberg à l'occasion du CES de Las Vegas qui se déroule cette semaine, John Chen explique qu'il aime les claviers physiques et que ceux-ci auront sa préférence quant aux designs des prochains modèles de la marque canadienne. La plupart d'entre eux seront d'ailleurs réalisés et produits par Foxconn, John Chen ayant conclu un accord en décembre dernier avec le prestataire pour les cinq prochaines années. Dans ce cadre de ce partenariat, Foxconn sera notamment chargé de produire des terminaux à destination des marchés émergents.
Un nouveau patron pour la division terminaux
Pas question cependant d'abandonner le développement de smartphones. Si Foxconn en conçoit certains, BlackBerry conservera aussi une partie du travail de design. Voilà pourquoi John Chen vient d'embaucher Ron Louks, ancien grand ponte de HTC et Sony Ericsson, pour diriger sa division consacrée aux terminaux. Selon certaines rumeurs, il serait déjà en charge de créer le prochain mobile haut de gamme destiné au marché américain.
Est-ce un véritable retour aux sources pour BlackBerry ? Certainement un peu. Les smartphones à clavier étaient sa marque de fabrique, tandis que les entreprises et les gouvernements étaient son terrain de chasse. Mais John Chen ne souhaite pas simplement recentrer son activité, il veut également effacer les traces du passage de son prédécesseur. Il renie le Z10, il remercie les cadres dirigeants de Thorsten Heins et renvoie même Alicia Keys, moitié égérie, moitié directrice de la création de la marque. Le grand ménage de printemps ne fait donc que commencer.
Pour le coup, Samsung a été pionnier. Même s'il sera possible de retrouver certaines fonctionnalités du Galaxy Camera avant, l'appareil proposé par la firme était novateur. Grosso-modo, il s'agissait d'un appareil photo compact sous Android muni d'un port carte SIM qui en faisait un véritable hybride entre le monde de la mobilité et celui de la photographie. Le principe était alors simple : vous preniez des photos avec un appareil de très grande qualité et vous pouviez les poster sur les réseaux sociaux directement, que ce soit Twitter, Facebook ou encore Instagram. La version d'Android qui tournait dessus était un poil modifiée pour convenir à l'usage, mais restait complète, Google Play Store inclus.
Une version 2 musclée
La version 2014 de cet appareil est robuste : elle embarque un processeur quadruple coeur cadencé à 1,6 Ghz, épaulé par 2 Go de RAM, une batterie de 2000 mAh (ce qui est un peu léger, vu que le premier se déchargeait tout de même très vite) et un écran de 4,8 pouces, HD 720p, entièrement tactile. Le capteur BSI CMOS dispose de 16 mpx pour ses clichés, qu'il pourra réaliser à l'aide d'un zoom optique 21x. Les clichés pourront être stockés dans le cloud de Dropbox, qui offre 50 Go pour deux ans à tous les utilisateurs de l'appareil. Du côté des gadgets, on trouve le NFC pour partager les photos, 28 modes intelligents pour prendre des clichés, un mode « selfie » pour ceux qui s'aiment beaucoup (qui prendra 5 clichés de vous pour être sûr qu'il y en ait un bon) et 16 modes de vitesse pour la capture vidéo : de 8 fois plus vite à 8 fois plus lentement que la normale.
Un Lumia 1520 dans un format plus compact
Les chances de le voir traverser l'Atlantique sont alors quasiment nulles. Dommage, puisque les informations révélées par la fiche produit du smartphone sont pour le moins prometteuses. Selon DJCA, le membre du forum TheVerge qui s'est trouvé sur le site de l'opérateur au bon moment, le Nokia Lumia Icon intègre un processeur quad-core 2,2 GHz (sans doute le Snapdragon 800), un écran Full HD, un APN 20 mégapixels ainsi qu'une batterie 2420 mAh. La charge sans fil y était également mentionnée, de même qu'un châssis en métal pour contenir l'ensemble. Le gaillard a fourni la capture d'écran ci-dessous pour appuyer ses dires.
« Personnellement, j'adore les claviers physiques »
Dans une interview accordée à l'agence de presse économique Bloomberg à l'occasion du CES de Las Vegas qui se déroule cette semaine, John Chen explique qu'il aime les claviers physiques et que ceux-ci auront sa préférence quant aux designs des prochains modèles de la marque canadienne. La plupart d'entre eux seront d'ailleurs réalisés et produits par Foxconn, John Chen ayant conclu un accord en décembre dernier avec le prestataire pour les cinq prochaines années. Dans ce cadre de ce partenariat, Foxconn sera notamment chargé de produire des terminaux à destination des marchés émergents.
Un nouveau patron pour la division terminaux
Pas question cependant d'abandonner le développement de smartphones. Si Foxconn en conçoit certains, BlackBerry conservera aussi une partie du travail de design. Voilà pourquoi John Chen vient d'embaucher Ron Louks, ancien grand ponte de HTC et Sony Ericsson, pour diriger sa division consacrée aux terminaux. Selon certaines rumeurs, il serait déjà en charge de créer le prochain mobile haut de gamme destiné au marché américain.
Est-ce un véritable retour aux sources pour BlackBerry ? Certainement un peu. Les smartphones à clavier étaient sa marque de fabrique, tandis que les entreprises et les gouvernements étaient son terrain de chasse. Mais John Chen ne souhaite pas simplement recentrer son activité, il veut également effacer les traces du passage de son prédécesseur. Il renie le Z10, il remercie les cadres dirigeants de Thorsten Heins et renvoie même Alicia Keys, moitié égérie, moitié directrice de la création de la marque. Le grand ménage de printemps ne fait donc que commencer.
Android a engendré des secteurs
intéressants : il y a encore quelques années, on n'aurait jamais pensé
parler d'appareil photo sur LesMobiles.com. Et pourtant, l'engin de
Samsung est bien plus qu'un compact...
Il est des constructeurs qui, quand ils décident de conquérir
un secteur, ne font pas les choses à moitié. Samsung est entré dans le
secteur de la mobilité avec pour idée de tout conquérir, d'imposer des
standards là où ils n'existent pas encore et de donner au marché ses
couleurs pour une durée indéterminée. Il faut le dire : sur smartphone,
et en particulier si l'on reste du côté d'Android, le pari est plutôt
gagné. Si l'on exclut alors le marché des tablettes bien accaparé par
Apple et le marché des smartwatches, encore balbutiant, qu'est-ce qu'il
reste ? Peut-être celui, à la mode, des appareils photo compacts
connectés...Pour le coup, Samsung a été pionnier. Même s'il sera possible de retrouver certaines fonctionnalités du Galaxy Camera avant, l'appareil proposé par la firme était novateur. Grosso-modo, il s'agissait d'un appareil photo compact sous Android muni d'un port carte SIM qui en faisait un véritable hybride entre le monde de la mobilité et celui de la photographie. Le principe était alors simple : vous preniez des photos avec un appareil de très grande qualité et vous pouviez les poster sur les réseaux sociaux directement, que ce soit Twitter, Facebook ou encore Instagram. La version d'Android qui tournait dessus était un poil modifiée pour convenir à l'usage, mais restait complète, Google Play Store inclus.
Une version 2 musclée
La version 2014 de cet appareil est robuste : elle embarque un processeur quadruple coeur cadencé à 1,6 Ghz, épaulé par 2 Go de RAM, une batterie de 2000 mAh (ce qui est un peu léger, vu que le premier se déchargeait tout de même très vite) et un écran de 4,8 pouces, HD 720p, entièrement tactile. Le capteur BSI CMOS dispose de 16 mpx pour ses clichés, qu'il pourra réaliser à l'aide d'un zoom optique 21x. Les clichés pourront être stockés dans le cloud de Dropbox, qui offre 50 Go pour deux ans à tous les utilisateurs de l'appareil. Du côté des gadgets, on trouve le NFC pour partager les photos, 28 modes intelligents pour prendre des clichés, un mode « selfie » pour ceux qui s'aiment beaucoup (qui prendra 5 clichés de vous pour être sûr qu'il y en ait un bon) et 16 modes de vitesse pour la capture vidéo : de 8 fois plus vite à 8 fois plus lentement que la normale.
Le Nokia Lumia Icon a fait une
courte apparition sur la page internet de Verizon. Il s'agira
vraisemblablement d'une exclusivité opérateur. Dommage au vu des
quelques éléments techniques dévoilés puisqu'ils rappellent l'excellent
Lumia 1520.
Le Nokia Lumia Icon fait à nouveau parler de lui, et les
nouvelles sont cette fois bien moins bonnes pour nous. L'appareil est en
effet apparu brièvement sur le site internet de l'opérateur américain
Verizon, désigné autrefois comme le partenaire exclusif de Nokia pour
son Lumia 929. Une rumeur
que l'on avait un peu laissé de côté à mesure que de nouvelles
arrivaient. Sauf coïncidence heureuse, il s'agit bien du même appareil
et, surtout, l'exclusivité opérateur est toujours d'actualité.Un Lumia 1520 dans un format plus compact
Les chances de le voir traverser l'Atlantique sont alors quasiment nulles. Dommage, puisque les informations révélées par la fiche produit du smartphone sont pour le moins prometteuses. Selon DJCA, le membre du forum TheVerge qui s'est trouvé sur le site de l'opérateur au bon moment, le Nokia Lumia Icon intègre un processeur quad-core 2,2 GHz (sans doute le Snapdragon 800), un écran Full HD, un APN 20 mégapixels ainsi qu'une batterie 2420 mAh. La charge sans fil y était également mentionnée, de même qu'un châssis en métal pour contenir l'ensemble. Le gaillard a fourni la capture d'écran ci-dessous pour appuyer ses dires.