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LA TV FRANCAISE

Histoire de la télévision française


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La télévision française est réellement née juste après les progrès de l'électronique qui ont permis à la télévision de transmettre des images de qualité suffisante, vers 1930. Avant cela, des pionniers avaient expérimenté simultanément dans plusieurs pays européens pretendants qui exploraient les possibilités de l'analyse et de la transmission d'images animées à distance. On peut difficilement déterminer un véritable inventeur incontesté de la télévision.

Sommaire

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  • 1 Pionniers et développement 1920
  • 2 RTF : Radiodiffusion-Télévision Française
  • 3 ORTF : Office de radiodiffusion-télévision française
  • 4 L'après-ORTF
  • 5 L'avènement de la télévision numérique
  • 6 Notes et références
  • 7 Annexes
    • 7.1 Articles connexes
    • 7.2 Liens externes

Pionniers et développement 1920

  • 1880-1881, différents chercheurs, George R. Carey de Boston, Adriano de Paiva à Porto, Constantin Senlecq, à Ardres en France, émettent de manière quasi contemporaine l'idée qu'on pourrait transmettre une image de télévision en projetant celle-ci sur une surface photo-sensible composée de points de sélénium, matériau photo-électrique ; le résultat de chaque point est transmis séquentiellement à un récepteur synchronisé avec l'émetteur (télectroscope). On a là le grand principe de l'analyse séquentielle qui est la base de tout système de transmission d'images animées.
  • 1884, un ingénieur allemand, Paul Nipkow, étudie un dispositif semblable à base de disque en mouvement. Il ne le présentera publiquement qu'en 1928 à Berlin.
  • 1923, Vladimir Zvorykine, chercheur russe, dépose le brevet de l'iconoscope.
  • 30 octobre 1925, John Logie Baird réalise la première expérience de transmission d'images à Londres.
  • 1927 à 1935 : les fonds Leclerc sont diffusés sur la télévision française.
  • 28 décembre 1927 : création par le gouvernement Poincaré du service de radiodiffusion, rattaché aux PTT.
  • 14 avril 1931 : première transmission d'une image de trente lignes de Montrouge à Malakoff par René Barthélemy.
  • 6 décembre 1931 : Henri de France fonde la Compagnie générale de télévision (CGT).
  • Décembre 1932 : René Barthélemy réalise un programme expérimental en noir et blanc (définition : 60 lignes) d'une heure par semaine, « Paris Télévision ». Il y a très peu de postes de réception (une centaine) qui sont surtout dans les services publics.
  • 26 avril 1935 : sous l'impulsion de Georges Mandel, première émission officielle de télévision française (60 lignes) depuis le ministère des PTT, 103, rue de Grenelle à Paris. La comédienne Béatrice Bretty, Jean Toscane et René Barthélemy sont les premiers visionnés de la télévision en France.
  • 8 novembre 1935 : émission à la définition de 180 lignes et un émetteur d'ondes courtes est installé au sommet de la Tour Eiffel.
  • 4 janvier 1937 : premières émissions tous les soirs de 20 h à 20 h 30. Il y a une centaine de postes chez les particuliers.
  • 3 septembre 1940 : après les sabotages réalisés par la Résistance en juin juste avant leur arrivée, la radiodiffusion et la télévision françaises sont prises en main par les autorités allemandes en zone occupée.
  • 7 mai 1943 vers 15 h, la première émission de Fernsehsender Paris est émise depuis le 13-15 rue Cognacq-Jay (ancienne pension de famille). Les prises de vue sont faites depuis un vaste studio aménagé rue de l'Université dans l'ancien « Magic City » transformé «ad hoc». Pour cela un émetteur Telefunken est installé au sommet de la Tour Eiffel. Ces émissions régulières en français et partiellement en allemand dureront jusqu'au 12 août 1944. Elles étaient reçues par un millier de récepteurs en 441 lignes, essentiellement installés dans les hôpitaux et les foyers pour soldats.
  • 1944 : réfugié à Lyon, Henri de France met au point la définition de la télévision à 819 lignes. À la CDC à Montrouge pendant les années d'occupation, René Barthélemy atteindra 1 015 et même 1 042 lignes.
  • 1er octobre 1944 : reprise des émissions de télévision après la libération de Paris. Les émissions sont diffusées en circuit fermé dans les locaux de Cognacq-Jay.
  • 1945 : après restitution du sommet de la tour Eiffel par les troupes américaines, les émissions de télévision reprennent avec une définition variant de 441 lignes (matériel Telefunken) à 450 lignes (matériels Grammont et CDC d'avant-guerre) en fonction des équipements mis à l'antenne.
  • 5 juin 1947 : premier direct en dehors des studios depuis le théâtre des Champs-Élysées à Paris.
  • 20 novembre 1948 : la définition du futur réseau national est fixée par le décret Mitterrand à 819 lignes (image positive et modulation d'amplitude), les émissions commencent fin 1949 dans cette définition avec un programme (limité à une heure par jour au début) différent du 441 lignes. La France est le seul pays à l'adopter (les autres pays choisiront les 625 lignes, image négative et modulation de fréquence, variante du 525 lignes américain adapté au courant alternatif européen à 50 Hz).

RTF : Radiodiffusion-Télévision Française

  • 9 février 1949 : la RDF (Radiodiffusion française) devient la RTF (Radiodiffusion-Télévision française).
  • 29 juin 1949 : le premier journal télévisé est créé par Pierre Sabbagh. Il n'y a pas de présentateur, les actualités filmées sont commentées en direct et en « voix-off ». L'équipe est composée par Gilbert Larriaga, Pierre Dumayet, Pierre Tchernia, Jean-Marie Coldefy, Georges de Caunes, Denise Glaser, Jacques Sallebert, Roger Debouzy, Claude Loursais, Claude Darget, Jacques Anjubault. Trois mille récepteurs. La télévision est encore un luxe.
  • 25 avril 1950 : Lille est la première ville de province équipée d'une station émettrice de télévision. Le studio et l'émetteur sont installés au sommet du Beffroi de l'Hôtel de Ville et les émissions, reçues jusqu'en Belgique, comportent même un programme en flamand. On estime le parc à seulement 3500 téléviseurs, principalement en Île-de-France. Les émissions de la tour Eiffel et du "Beffroi" couvrent à peine 10 % du territoire national.
  • 1951 : Lille est reliée à Paris par un faisceau hertzien et relaie désormais le programme national, tout en conservant quelques émissions locales avant ou après celles de Paris.
  • 1952 : début de La Vie des animaux de Frédéric Rossif et Claude Darget. Mais également de La Joie de vivre de Henri Spade, avec Jacqueline Joubert pour les émissions populaires de variétés. En juillet, en vue du couronnement de la reine Élisabeth II, une « semaine franco-britannique » est organisée à Paris. La BBC et la RTF ont enfin trouvé le moyen d'échanger des images avec des définitions différentes : à Lille, une caméra anglaise à 405 lignes « filme » l'image d'un moniteur 819 lignes à tube cathodique spécial. Le signal est envoyé à Londres via un faisceau hertzien Calais-Douvres. Grâce à ce même « convertisseur », les téléspectateurs en 441 lignes, jusque-là limités à des vieux films et des émissions de plateau, peuvent désormais voir le même programme que ceux en 819 lignes, avec des variétés, des directs sportifs, etc.
  • 1953 : première émission littéraire Lectures pour tous de Pierre Desgraupes et Pierre Dumayet. Première émission de 36 chandelles de Jean Nohain et début de La Séquence du spectateur, de Claude Mionnet qui présentait des extraits de films cinémas. Une émission qui va durer très longtemps (jusqu'en 1989 sur TF1).
Le 2 juin 1953 la RTF retransmet le couronnement d'Élisabeth II. Le beffroi de Lille est le « centre nodal » du réseau avec la conversion des images anglaises à 405 lignes en 819 lignes vers Paris (qui les reconvertit ensuite en 441 lignes) et vers la Belgique francophone, et en 625 lignes vers la Belgique flamande, l'Allemagne et le Danemark.
Le 30 septembre 1953 un émetteur local est inauguré en urgence rue Lauth à Strasbourg, de crainte que les Alsaciens (dont certains ont suivi le couronnement sur l'émetteur de Baden-Baden) ne s'équipent de récepteurs allemands en 625 lignes qui ne capteraient pas la RTF.
  • 6 juin 1954 : naissance officielle de l'Eurovision : ce jour-là, des téléspectateurs de l'Europe assistent à la Fête des narcisses et ses chars fleuris, à Montreux (Suisse).
  • 1954 : La Piste aux étoiles de Gilles Margaritis et Pierre Tchernia.
  • Octobre 1955 : reprise du Service des dramatiques de la RTF par André Frank, homme de théâtre, auteur de la Dramaturgie de la télévision, l'Écriture par l'image UNESCO 1970.
Mise en service de l'émetteur local de Lyon sur la tour de Fourvière, et de celui de Marseille sur le massif de l'Etoile, qui est reçu jusqu'à Avignon, Nîmes et Montpellier. Sur la Côte d'Azur, la RTF est devancée par la mise en service de la chaîne monégasque Télé Monte-Carlo, également en 819 lignes et captée jusque dans les quartiers hauts de Marseille et dans le nord de la Corse.
  • 1955 : mises en service des relais locaux de Reims, Nancy et Grenoble, et du puissant émetteur de Lyon Mont Pilat, reçu dans la vallée du Rhône, le Sud de la Bourgogne, une partie des Alpes et du Massif central. Dans l'Est, en plus de la concurrence allemande, la RTF doit désormais affronter celle de Télé-Luxembourg dont le puissant émetteur 819 lignes de Dudelange est capté jusqu'à Reims, Épinal et Mulhouse.
  • 1956 : on atteint cinq cent mille récepteurs de télévision. L'émetteur 441 lignes, victime d'un incendie le 3 janvier, qui devait fonctionner jusqu'en 1958, n'est pas reconstruit. Ses téléspectateurs sont indemnisés pour l'achat d'un récepteur 819 lignes.
De puissants émetteurs régionaux sont mis en service à Mulhouse (Belvédère), Bourges (Neuvy Deux Clochers), Caen (Mont Pinçon), Metz (Luttange), Cannes (pic de l'Ours) pour contrer la concurrence de la Télévision allemande et de la Télévision suisse, de Télé-Luxembourg, de Télé Monte-Carlo et même de la BBC de Jersey. S'y ajoutent les émetteurs de Rouen (Grand-Couronne) et de Toulon (cap Sicié). Le 24 décembre 1956, l'émetteur 819 lignes d'Alger(cap Matifou) est inauguré. Une astuce technique permet la diffusion simultanée du son en deux langues (français et arabe) pour certaines de ses émissions. Celles-ci sont entièrement réalisées sur place, aucun relais n'étant possible avec la métropole.
  • 1957-1958 : par manque de crédits, la RTF doit se contenter de relais locaux de faible puissance à Rennes, Nantes, Limoges, Amiens, Carcassonne, Ajaccio... Les émetteurs de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) et de Toulouse (pic du Midi) permettent de couvrir de vastes zones de l'Auvergne et du Morvan, et de l'Aquitaine entre Toulouse et Bordeaux.
  • 1959 : le directeur de la Télévision, Jean d'Arcy, est remplacé par Albert Ollivier. Les émetteurs régionaux définitifs de Rennes (Saint-Pern, Aurillac (La Bastide du Haut-Mont, Limoges (Les Cars) couvrent désormais de vastes zones de la Bretagne et du Massif central. Dans le Nord, le beffroi de Lille est remplacé par le grand centre de Bouvigny, près de Lens, qui émet sur deux canaux différents, l'un vers Lille et le Nord-Pas-de-Calais, l'autre vers Amiens et la Picardie.
  • 1960-1961 : l'achèvement du réseau national s'opère avec les centres régionaux de Nantes (Haute-Goulaine), Le Mans (Mayet), Brest (Roc Trédudon), Vannes (Moustoir'Ac Niort (Maisonnay), Troyes (Les Riceys), Bastia (Serra di Pigno), Besançon (Lomont, Gex (Mont-Rond) Strasbourg (Nordheim) et l'augmentation de puissance des émetteurs de Carcassonne (Pic de Nore), Ajaccio (Coti Chiavari) et du Pic du Midi
  • 11 juillet 1962 : naissance de la Mondovision, première transmission en direct via le satellite Telstar 1 reçue au Centre de télécommunication spatiale de Pleumeur-Bodou en France depuis les États-Unis
  • 12 octobre 1963 : premières expériences vidéo en France avec Les Raisins verts de Jean-Christophe Averty.
  • 21 décembre 1963 : émission expérimentale de la deuxième chaîne, uniquement sur Paris en bande V UHF à partir de la tour hertzienne des Buttes-Chaumont
  • 18 avril 1964 : inauguration de la deuxième chaîne en noir et blanc en 625 lignes UHF, afin de faciliter les échanges avec les autres pays européens qui utilisent presque tous cette définition. Les antennes au sommet de la Tour Eiffel ont été modifiées, portant la hauteur totale de l'édifice à 324 mètres.
  • 1964 : la présentatrice de Télé Dimanche, Noëlle Noblecourt, est officiellement renvoyée pour avoir montré ses genoux à l'antenne. Interviewée par Vincent Perrot une trentaine d'années après, elle affirme avoir été renvoyée pour avoir refusé les avances de Raymond Marcillac, directeur de l'information de TF1[1].
Courant 1964-1965, inaugurations par le ministre de l'Information Alain Peyrefitte, d'un Centre d'actualités télévisées (CAT) dans chaque province de France. Deux possèdent deux CAT : la future région des Pays de la Loire (Nantes et Le Mans), et la future région PACA avec Marseille (qui couvre aussi l'actualité en Corse) et Nice. Deux stations locales sont aussi inaugurées à Millau (Quercy) et Grenoble (Alpes).

ORTF : Office de radiodiffusion-télévision française

  • 27 juin 1964 : loi créant l'Office de radiodiffusion télévision française placé sous la tutelle (et non plus l'autorité) du ministère de l'Information (ce qui ne change pas grand-chose).
  • 1er octobre 1967 : passage de la deuxième chaîne à la couleur, la France ayant choisi en juin 1967 le SÉCAM IIIB (standard d'encodage de la couleur, inventé par Henri de France).
  • 1er octobre 1968 : première publicité sur la première chaîne (en 1971 éclatera un scandale sur la publicité clandestine, quand une marque est vue dans une émission ; auparavant, les étiquettes des bouteilles étaient affichées à l'opposé de la caméra, et les marques des pianos lors de concerts étaient masquées).
  • juin 1970 : André Frank est nommé secrétaire général des comités de programmes de l'ORTF.
  • 1972 : premier générique en couleur, dessiné par Jean-Michel Folon, sur une musique d'Ennio Morricone pour l'émission Italiques produite et animée par Marc Gilbert.
  • 31 décembre 1972 : lancement de la troisième chaîne (C3 pour "Chaîne 3", mais aussi pour "Couleur 3"). Comme la deuxième chaîne à ses débuts, elle n'est reçue que par 25 % de la population française (essentiellement l'Île-de-France, Lyon, le Nord et l'Est de la France) pour contrer la concurrence des émissions en couleurs de Télé-Luxembourg, des chaînes belges, suisses et allemandes. Par la suite, comme pour la deuxième chaîne, la priorité sera donnée aux principales agglomérations de l'Ouest, du Sud-Est et du Midi.
Ses programmes, très réduits, ne commencent qu'à 19 heures pour finir dès 22 heures, voire 21h30. Ils sont surtout composés de productions des stations régionales et de documentaires.

L'après-ORTF

  • 8 juillet 1974 : loi divisant l'ORTF en sept établissements autonomes : Radio France, TF1, Antenne 2, FR3, Télédiffusion de France (TDF), la SFP (Société française de production et de création audiovisuelles), l'INA (Institut national de l'audiovisuel).
  • 1er septembre 1975 : le programme de TF1 est diffusé en couleur sur FR3 à midi et l’après-midi jusqu’au démarrage des émissions de FR3 à 18 h.
  • 6 janvier 1976 : passage de TF1 en couleur en région parisienne sur des émetteurs spécifiques.
  • En 1983 : Arrêt des émetteurs 819 lignes noir et blanc.
  • 2 janvier 1984 : lancement de la chaîne francophone TV5.
  • 4 août 1984 : lancement du satellite de télécommunication Télécom 1A.
  • 4 novembre 1984 : mise en service de la première chaîne privée payante Canal+. Elle utilise les émetteurs VHF libérés suite à l'arrêt de TF1 en noir et blanc. De ce fait, la couverture de cette chaîne est nationale dès le début.
  • 18 décembre 1985 sont également apparues des chaînes câblées telles que TV5 Monde, TMC, RTL9 et Sky1. Le rythme de création va augmenter dans les années qui vont suivre. Ces chaînes seront accessibles via le câble mais également par satellite créer en 1992.
  • 20 février 1986 : lancement de la première chaîne généraliste commerciale française, La Cinq. Dirigée par Silvio Berlusconi, elle émettra jusqu'au soir du 12 avril 1992.
  • 21 février 1986 : création de La Sept (Société d'édition de programmes de télévision).
  • 1er mars 1986 : naissance de la première chaîne musicale hertzienne TV6 qui durera un an.
  • 14 mai 1986 : François Léotard annonce la privatisation de TF1.
  • 16 avril 1987 : privatisation de TF1. L'État vend 50 % au groupe Bouygues pour 3 milliards de francs français (plus de 457 millions d'euros).
  • 1er mars 1987 : lancement de Métropole Télévision dite M6.
  • 2 août 1989 : présidence commune d'Antenne 2 et FR3.
  • 12 avril 1992 : arrêt de La Cinq, à minuit.
  • 7 septembre 1992 : création de France Télévision. Antenne 2 devient France 2 et FR3, France 3.
  • 28 septembre 1992 : lancement d'Arte sur le 5e réseau hertzien, la chaîne culturelle franco-allemande.
  • 1992 : disparition des speakerines sur TF1.
  • 13 décembre 1994 : lancement de La Cinquième, chaîne du savoir, de la formation et de l'emploi.
  • 1er août 2000 : création de France Télévisions (notez bien la présences du "s"). Holding qui contient France 2 et France 3 mais aussi La Cinquième devenue France 5, Festival devenue France 4, RFO Sat devenue France Ô et RFO.
  • 5 janvier 2009 : la publicité est supprimée du service public (France 2, France 3, France 4, France 5, France Ô) entre 20h et 6h du matin.

L'avènement de la télévision numérique

  • 31 mars 2005 : création de la TNT (Télévision numérique terrestre ou de terre avec, pour commencer, 8 nouvelles chaînes : Direct 8 (devenue D8), W9, TMC, NT1, NRJ 12, La Chaîne parlementaire & Public Sénat et France 4 (anciennement Festival). Puis apparurent : BFM TV, I-Télé, Europe 2 TV (Devenant Virgin 17, Direct Star et maintenant D17), Gulli et France Ô.
  • mars 2007 : naissance de Nouveau Canalsat, fusion des groupes Canalsat et TPS
  • 30 octobre 2008 : lancement officiel de la TNT HD en France. L'offre comprend les 4 chaînes gratuites TF1 HD, France 2 HD, M6 HD et Arte HD
  • 18 octobre 2009 : arrêt de la télévision analogique dans le nord cotentin (première "région" à ne recevoir la télévision qu'en numérique) sauf pour Canal Plus qui a un calendrier de passage spécifique.
  • 25 novembre 2009 : début du passage de Canal Plus au tout numérique dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
  • 24 novembre 2010 : passage de Canal Plus au tout numérique Île-de-France. Canal Plus n'émet plus en analogique.
  • 29 novembre 2011 : arrêt de la télévision analogique dans le Languedoc-Roussillon et les derniers DOM-TOM qui la recevaient encore. C'est la fin de la télévision analogique.
  • 12 décembre 2012 : arrivée de six nouvelles chaînes de télévision en clair et en haute définition : HD1, L'Équipe 21, 6ter, Numéro 23, RMC Découverte et Chérie 25.

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